
Ne cherchez pas l’erreur ”car” il n’y en a pas ! C’est bien en car que les joueurs de la Banque de France se sont déplacés de leur vestiaire jusqu’au terrain synthétique qui les attendait.
La raison ? La taille immense du campus HEC de Jouy en Josas, en grande banlieue sud-est de Paris, et le curieux éloignement des vestiaires par rapport au terrain.
La raison ? La taille immense du campus HEC de Jouy en Josas, en grande banlieue sud-est de Paris, et le curieux éloignement des vestiaires par rapport au terrain.
Venus en car, ils sont repartis en quart après avoir obtenu leur qualification face aux valeureux joueurs d’HEC PANATHENEES.
![]() |
![]() |
Que peut-on dire de ce match disputé sous un beau soleil, dans une froideur et une bise glaciale à ne pas mettre un appareil photo dehors et sous les yeux de quelques supporters locaux bruyants et pleins d’humour ?
Après un début de match dominé par les visiteurs mais sans occasion réelle, c’est une malheureuse relance dans l’axe du stoppeur local à la 43ème minute qui servit de déclencheur à ce match : un match assez fermé, sans occasion et donc sans argument pour applaudir et se réchauffer les mains.
Les locaux, moins costauds physiquement, quadrillaient parfaitement le terrain faisant jeu égal sur le plan technique mais cependant sans pouvoir véritablement inquiéter le gardien de but des banquiers. Récupérant donc un ballon mal maîtrisé plein axe, Majdi BELADJ ajustait sa frappe et plaçait le ballon, de 25m, hors de portée du très bon gardien d’HEC (1-0, 43ème). Score à la pause.

La libération intervenait toutefois à la 86ème par Willy OLEON combattif qui reprenait puissamment de volée un ballon venu de la gauche sur un coup-franc (2-0) (cf but dans la vidéo ci-dessous). Le match semblait plié mais c’était sans compter sur l’abnégation des locaux qui réduisaient logiquement la marque de près à la 90ème (2-1).
Alors qu’on pensait qu’ils allaient jeter leurs dernières forces dans cette bataille pour égaliser, ce sont les banquiers qui éteignaient définitivement leurs velléités en clôturant la caisse par un joli troisième but en force par Bacari FATY (3-1, 92ème)
Victoire logique des Banquiers concentrés mais HEC a aligné tout ce qu’il possédait comme ressources techniques, physiques et mentales, pour tenter d’inverser la tendance. Ses joueurs ont lutté et fait le maximum pour s’élever au niveau de leurs adversaires du jour. Un peu plus de poids en attaque leur aurait sans doute permis d’espérer mieux. Ce sera, espérons-le pour eux, la saison prochaine car ils auront beaucoup appris, en tout cas de quoi leur réchauffer le cœur à défaut des mains !
Bravo pour leur parcours dans cette édition et félicitation à la Banque de France pour les avoir pris très au sérieux !
{youtube}v4rb7i5G2aE{/youtube}
La tribune ”populaire” |
Les loges ”présidentielles” |
Rédacteur : Daniel TESTE